Démarches administratives

Se marier ou conclure un PACS

Mariage

Vous trouverez ci-dessous en téléchargement tous les documents nécessaires pour préparer votre mariage. Merci de les rapporter en mairie dûment complétés au moins un mois avant la date prévue du mariage. Aucun dossier ne devra être envoyé par la Poste ni être déposé dans la boîte aux lettres.

Documents à compléter :
Questionnaire (282ko) – Attestation de l’époux (199ko) – Attestation de l’épouse (199ko) – Liste des témoins (259ko)

Documents d’information :
Documents à fournir (364ko)  – Informations sur le droit de la famille (220ko)

PACS

Depuis le 1er novembre 2017, les Pactes civils de solidarité (PACS) ne sont plus enregistrés au tribunal mais dans votre mairie de résidence.

Documents à compléter :
Convention type (Cerfa n° 15726*02 – pdf 383 Ko)
Déclaration conjointe (Cerfa n° 15725*02 – pdf 406 Ko)

Document d’information :
Fiche d’information (pdf 4.3 Mo)

CNI / Passeports

1- Constituer son dossier
Il est fortement recommandé d’effectuer une PRÉ-DEMANDE EN LIGNE sur https://ants.gouv.fr pour une démarche plus rapide.
OU
Compléter le formulaire CERFA disponible en mairie : à l’encre noire, en lettres capitales (NE PAS LE SIGNER). Les noms, prénoms, date et lieu de naissance de vos parents devront être renseignés.

LISTE DES JUSTIFICATIFS A FOURNIR

>> Vous la trouverez également :

  • En prenant rendez-vous en ligne,
  • En effectuant votre pré-demande en ligne,
  • À l’accueil de la mairie.

2 – Prendre rendez-vous
UNIQUEMENT en ligne sur la plateforme RDV ONLINE.
Pour modifier ou annuler un rendez-vous, munissez-vous de l’e-mail de confirmation qui vous a été envoyé lors de votre prise de rendez-vous.

3 – Se présenter au rendez-vous
Tout demandeur doit se présenter personnellement, la personne mineure doit être accompagnée du représentant légal (prise d’empreinte digitale à partir de 12 ans).
ATTENTION : en cas de dossier incomplet ou si les photographies fournies ne correspondent pas aux normes ou sont trop anciennes (plus de 6 mois) ou ont déjà été utilisées pour un autre titre, le dossier ne pourra pas être enregistré et un autre rendez-vous devra être fixé.

5 – Le retrait du titre
Vous serez averti lorsque votre titre d’identité sera disponible en mairie.
Le retrait se fait sans rdv aux heures d’ouverture de la maire, de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h30 (17h le vendredi). Si celui-ci n’est pas retiré dans un délai de 3 mois, il sera détruit automatiquement.

A SAVOIR :
LE DÉLAI D’OBTENTION DES TITRES D’IDENTITÉS (PASSEPORT OU CARTE NATIONALE D’IDENTITÉ) PEUT, SUR CERTAINES PÉRIODES, VARIER DE 4 A 12 SEMAINES. ANTICIPEZ DONC CETTE DÉMARCHE AU MAXIMUM, NOTAMMENT A L’APPROCHE DES CONGÉS D’ÉTÉ.

 

 

Fiche pratique

Fonction publique : congé de présence parentale

Vérifié le 26 janvier 2018 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre)

Le congé de présence parentale permet à l'agent de cesser son activité professionnelle pour donner des soins à un enfant à charge handicapé, accidenté ou malade. Sa durée est fixée à 310 jours ouvrés maximum par période par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie. Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Bénéficiaires

Fonctionnaires, parents d'un enfant à charge dont la maladie, l'accident ou le handicap présente une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue d'un parent et des soins contraignants

Démarche

Le fonctionnaire présente sa demande de congé par écrit au moins 15 jours avant le début du congé.

Elle doit être accompagnée d'un certificat médical qui :

  • atteste de la gravité de la maladie, de l'accident ou du handicap de l'enfant ;
  • atteste que la présence soutenue d'un parent et des soins contraignants sont nécessaires ;
  • précise la durée pendant laquelle s'impose cette nécessité.

En cas d'urgence liée à l'état de santé de l'enfant, le congé peut débuter à la date de la demande. Le fonctionnaire doit alors transmettre le certificat médical sous 15 jours.

L'administration ne peut pas refuser le congé.

Le fonctionnaire communique par écrit à son administration le calendrier mensuel de ses absences, au moins 15 jours avant le début de chaque mois. Lorsqu'il souhaite modifier la date d'un ou plusieurs jours de congé, il en informe son administration au moins 48 heures à l'avance.

Durée

Le nombre de jours de congé est fixé à 310 jours ouvrés maximum par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie.

Chacun de ces jours ne peut pas être fractionné.

Le décompte de la période de 36 mois s'effectue à partir de la date de début du congé.

Condition d'attribution du congé

Le congé débute à la date à laquelle le certificat médical fixe la présence du parent et les soins nécessaires. Il est accordé pour la période fixée par le certificat médical.

À la fin de cette période, il peut être prolongé, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Le congé peut également être rouvert, après une période de reprise du travail, en cas de rechute ou de récidive de la pathologie de l'enfant, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Lorsque la durée du congé dépasse 6 mois, l'agent transmet à son administration, tous les 6 mois, un certificat médical confirmant la gravité de la pathologie et la nécessité de présence soutenue et de soins contraignants.

L'agent peut bénéficier d'un nouveau congé à la fin de la période de 36 mois en cas :

  • de nouvelle pathologie ;
  • ou de rechute ou de récidive de la pathologie initialement traitée.

Rémunération

Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Impact du congé sur la carrière

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour déterminer les droits à avancement (d'échelon et de grade), à promotion interne et à formation.

Retraite

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour le calcul de la durée d'assurance, dans la limite de 3 ans par enfant à condition que l'enfant au titre duquel le congé a été accordé soit né ou adopté après 2003.

Contrôle de l'administration

L'administration peut faire une enquête pour s'assurer que le fonctionnaire consacre réellement son congé à donner des soins à son enfant.

S'il s'avère que cela n'est pas le cas, il peut être mis fin au congé après que le fonctionnaire ait été invité à présenter ses observations.

Réintégration

Le fonctionnaire est réaffecté dans son ancien emploi, ou à défaut, dans un emploi le plus proche de son dernier lieu de travail :

  • à la fin du congé ;
  • ou en cas de diminution des ressources du ménage ;
  • ou en cas de décès de l'enfant.

Lorsqu'il ne peut pas être réaffecté dans son ancien emploi, le fonctionnaire peut demander à être affecté dans un emploi le plus proche de son domicile.

L'agent qui souhaite écourter son congé doit en informer son administration au moins 15 jours à l'avance.

Bénéficiaires

Contractuels, parents d'un enfant à charge dont la maladie, l'accident ou le handicap présente une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue d'un parent et des soins contraignants

Démarche

L'agent présente sa demande de congé par écrit au moins 15 jours avant le début du congé.

Elle doit être accompagnée d'un certificat médical qui :

  • atteste de la gravité de la maladie, de l'accident ou du handicap de l'enfant ;
  • atteste que la présence soutenue d'un parent et des soins contraignants sont nécessaires ;
  • précise la durée pendant laquelle s'impose cette nécessité.

En cas d'urgence liée à l'état de santé de l'enfant, le congé peut débuter à la date de la demande. L'agent doit alors transmettre le certificat médical sous 15 jours.

L'administration ne peut pas refuser le congé.

L'agent communique par écrit à son administration le calendrier mensuel de ses absences, au moins 15 jours avant le début de chaque mois. Lorsqu'il souhaite modifier la date d'un ou plusieurs jours de congé, il en informe son administration au moins 48 heures à l'avance.

Durée

Le nombre de jours de congé est fixé à 310 jours ouvrés maximum par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie.

Chacun de ces jours ne peut pas être fractionné.

Le décompte de la période de 36 mois s'effectue à partir de la date de début du congé.

Condition d'attribution du congé

Le congé débute à la date à laquelle le certificat médical fixe la présence du parent et les soins nécessaires. Il est accordé pour la période fixée par le certificat médical.

À la fin de cette période, il peut être prolongé, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Le congé peut également être rouvert, après une période de reprise du travail, en cas de rechute ou de récidive de la pathologie de l'enfant, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Lorsque la durée du congé dépasse 6 mois, l'agent transmet à son administration, tous les 6 mois, un certificat médical confirmant la gravité de la pathologie et la nécessité de présence soutenue et de soins contraignants.

L'agent peut bénéficier d'un nouveau congé à la fin de la période de 36 mois en cas :

  • de nouvelle pathologie ;
  • ou de rechute ou de récidive de la pathologie initialement traitée.

Rémunération

Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Impact du congé sur la carrière

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour déterminer la durée de services exigée pour pouvoir bénéficier :

  • des congés annuels ;
  • du congé pour formation syndicale ;
  • du congé pour formation de cadres et d'animateurs pour la jeunesse ;
  • du congé de formation professionnelle ;
  • du congé de représentation ;
  • des congés de maladie ordinaire, de grave maladie, d'accident du travail, de maladie professionnelle ;
  • d'un congé de maternité, de paternité, d'adoption ou d'accueil d'un enfant ;
  • d'un congé parental ;
  • d'un congé pour se rendre en outre-mer ou à l'étranger en vue d'adopter un ou plusieurs enfants ;
  • d'un congé de solidarité familiale ;
  • d'un congé pour élever un enfant de moins de 8 ans, pour donner des soins à un enfant à charge, à l'époux-se, au partenaire de pacs, à un ascendant à la suite d'un accident ou d'une maladie grave ou atteint d'un handicap nécessitant la présence d'une tierce personne, pour suivre son époux-se ou partenaire de pacs tenu de déménager pour des raisons professionnelles ;
  • d'un congé de présence parentale ;
  • d'un congé pour raisons de famille ;
  • d'un congé pour convenances personnelles ;
  • d'un congé pour création ou reprise d'entreprise ;
  • d'un temps partiel.

Les périodes de congé de présence parentale sont également prises en compte pour déterminer l'ancienneté ou la durée de services exigées pour :

  • le réexamen ou l'évolution des conditions de rémunération ;
  • l'ouverture des droits à formation ;
  • se présenter aux concours internes d'accès à la fonction publique ;
  • la détermination du classement d'échelon des lauréats de ces concours.

Retraite

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte au titre de l'assurance vieillesse du parent au foyer (Avpf). La Caf ou la MSA procède automatiquement à votre affiliation et paie les cotisations d'assurance vieillesse.

Contrôle de l'administration

L'administration peut faire une enquête pour s'assurer que l'agent consacre réellement son congé à donner des soins à son enfant.

S'il s'avère que cela n'est pas le cas, il peut être mis fin au congé après que l'agent ait été invité à présenter ses observations.

Réintégration

L'agent est réaffecté sur son emploi précédent, ou à défaut, sur un emploi similaire doté d'une rémunération équivalente :

  • à la fin du congé ;
  • ou en cas de décès de l'enfant ;
  • ou en cas de demande de l'agent d'écouter son congé.

L'agent qui souhaite écourter son congé doit en informer son administration au moins 15 jours à l'avance.

Bénéficiaires

Fonctionnaires, parents d'un enfant à charge dont la maladie, l'accident ou le handicap présente une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue d'un parent et des soins contraignants

Démarche

Le fonctionnaire présente sa demande de congé par écrit au moins 15 jours avant le début du congé.

Elle doit être accompagnée d'un certificat médical qui :

  • atteste de la gravité de la maladie, de l'accident ou du handicap de l'enfant ;
  • atteste que la présence soutenue d'un parent et des soins contraignants sont nécessaires ;
  • précise la durée pendant laquelle s'impose cette nécessité.

En cas d'urgence liée à l'état de santé de l'enfant, le congé peut débuter à la date de la demande. Le fonctionnaire doit alors transmettre le certificat médical sous 15 jours.

L'administration ne peut pas refuser le congé.

Le fonctionnaire communique par écrit à son administration le calendrier mensuel de ses absences, au moins 15 jours avant le début de chaque mois. Lorsqu'il souhaite modifier la date d'un ou plusieurs jours de congé, il en informe son administration au moins 48 heures à l'avance.

Durée

Le nombre de jours de congé est fixé à 310 jours ouvrés maximum par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie.

Chacun de ces jours ne peut pas être fractionné.

Le décompte de la période de 36 mois s'effectue à partir de la date de début du congé.

Condition d'attribution du congé

Le congé débute à la date à laquelle le certificat médical fixe la présence du parent et les soins nécessaires. Il est accordé pour la période fixée par le certificat médical.

À la fin de cette période, il peut être prolongé, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Le congé peut également être rouvert, après une période de reprise du travail, en cas de rechute ou de récidive de la pathologie de l'enfant, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Lorsque la durée du congé dépasse 6 mois, l'agent transmet à son administration, tous les 6 mois, un certificat médical confirmant la gravité de la pathologie et la nécessité de présence soutenue et de soins contraignants.

L'agent peut bénéficier d'un nouveau congé à la fin de la période de 36 mois en cas :

  • de nouvelle pathologie ;
  • ou de rechute ou de récidive de la pathologie initialement traitée.

Rémunération

Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Impact du congé sur la carrière

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour déterminer les droits à avancement (d'échelon et de grade), à promotion interne et à formation.

Retraite

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour le calcul de la durée d'assurance, dans la limite de 3 ans par enfant à condition que l'enfant au titre duquel le congé a été accordé soit né ou adopté après 2003.

Contrôle de l'administration

L'administration peut faire une enquête pour s'assurer que le fonctionnaire consacre réellement son congé à donner des soins à son enfant.

S'il s'avère que cela n'est pas le cas, il peut être mis fin au congé après que le fonctionnaire ait été invité à présenter ses observations.

Réintégration

Le fonctionnaire est réaffecté dans son ancien emploi, ou à défaut, dans un emploi le plus proche de son dernier lieu de travail :

  • à la fin du congé ;
  • ou en cas de diminution des ressources du ménage ;
  • ou en cas de décès de l'enfant.

Lorsqu'il ne peut pas être réaffecté dans son ancien emploi, le fonctionnaire peut demander à être affecté dans un emploi le plus proche de son domicile.

L'agent qui souhaite écourter son congé doit en informer son administration au moins 15 jours à l'avance.

Bénéficiaires

Contractuels, parents d'un enfant à charge dont la maladie, l'accident ou le handicap présente une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue d'un parent et des soins contraignants

Démarche

L'agent présente sa demande de congé par écrit au moins 15 jours avant le début du congé.

Elle doit être accompagnée d'un certificat médical qui :

  • atteste de la gravité de la maladie, de l'accident ou du handicap de l'enfant ;
  • atteste que la présence soutenue d'un parent et des soins contraignants sont nécessaires ;
  • précise la durée pendant laquelle s'impose cette nécessité.

En cas d'urgence liée à l'état de santé de l'enfant, le congé peut débuter à la date de la demande. L'agent doit alors transmettre le certificat médical sous 15 jours.

L'administration ne peut pas refuser le congé.

L'agent communique par écrit à son administration le calendrier mensuel de ses absences, au moins 15 jours avant le début de chaque mois. Lorsqu'il souhaite modifier la date d'un ou plusieurs jours de congé, il en informe son administration au moins 48 heures à l'avance.

Durée

Le nombre de jours de congé est fixé à 310 jours ouvrés maximum par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie.

Chacun de ces jours ne peut pas être fractionné.

Le décompte de la période de 36 mois s'effectue à partir de la date de début du congé.

Condition d'attribution du congé

Le congé débute à la date à laquelle le certificat médical fixe la présence du parent et les soins nécessaires. Il est accordé pour la période fixée par le certificat médical.

À la fin de cette période, il peut être prolongé, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Le congé peut également être rouvert, après une période de reprise du travail, en cas de rechute ou de récidive de la pathologie de l'enfant, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Lorsque la durée du congé dépasse 6 mois, l'agent transmet à son administration, tous les 6 mois, un certificat médical confirmant la gravité de la pathologie et la nécessité de présence soutenue et de soins contraignants.

L'agent peut bénéficier d'un nouveau congé à la fin de la période de 36 mois en cas :

  • de nouvelle pathologie ;
  • ou de rechute ou de récidive de la pathologie initialement traitée.

Rémunération

Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Impact du congé sur la carrière

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour déterminer la durée de services exigée pour pouvoir bénéficier :

  • des congés annuels ;
  • du congé pour formation syndicale ;
  • du congé pour formation de cadres et d'animateurs pour la jeunesse ;
  • du congé de formation professionnelle ;
  • du congé de représentation ;
  • des congés de maladie ordinaire, de grave maladie, d'accident du travail, de maladie professionnelle ;
  • d'un congé de maternité, de paternité, d'adoption ou d'accueil d'un enfant ;
  • d'un congé parental ;
  • d'un congé pour se rendre en outre-mer ou à l'étranger en vue d'adopter un ou plusieurs enfants ;
  • d'un congé de solidarité familiale ;
  • d'un congé pour élever un enfant de moins de 8 ans, pour donner des soins à un enfant à charge, à l'époux-se, au partenaire de pacs, à un ascendant à la suite d'un accident ou d'une maladie grave ou atteint d'un handicap nécessitant la présence d'une tierce personne, pour suivre son époux-se ou partenaire de pacs tenu de déménager pour des raisons professionnelles ;
  • d'un congé de présence parentale ;
  • d'un congé pour raisons de famille ;
  • d'un congé pour convenances personnelles ;
  • d'un congé pour création ou reprise d'entreprise.

Les périodes de congé de présence parentale sont également prises en compte pour déterminer l'ancienneté ou la durée de services exigées pour :

  • la réévaluation ou l'évolution des conditions de rémunération ;
  • l'ouverture des droits à formation ;
  • se présenter aux concours internes d'accès à la fonction publique ;
  • la détermination du classement d'échelon des lauréats de ces concours.

Contrôle de l'administration

L'administration peut faire une enquête pour s'assurer que l'agent consacre réellement son congé à donner des soins à son enfant.

S'il s'avère que cela n'est pas le cas, il peut être mis fin au congé après que l'agent ait été invité à présenter ses observations.

Réintégration

L'agent est réaffecté sur son emploi précédent, ou à défaut, sur un emploi similaire doté d'une rémunération équivalente :

  • à la fin du congé ;
  • ou en cas de décès de l'enfant ;
  • ou en cas de demande de l'agent d'écouter son congé.

L'agent qui souhaite écourter son congé doit en informer son administration au moins 15 jours à l'avance.

Bénéficiaires

Fonctionnaires, parents d'un enfant à charge dont la maladie, l'accident ou le handicap présente une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue d'un parent et des soins contraignants

Démarche

Le fonctionnaire présente sa demande de congé par écrit au moins 15 jours avant le début du congé.

Elle doit être accompagnée d'un certificat médical qui :

  • atteste de la gravité de la maladie, de l'accident ou du handicap de l'enfant ;
  • atteste que la présence soutenue d'un parent et des soins contraignants sont nécessaires ;
  • précise la durée pendant laquelle s'impose cette nécessité.

En cas d'urgence liée à l'état de santé de l'enfant, le congé peut débuter à la date de la demande. Le fonctionnaire doit alors transmettre le certificat médical sous 15 jours.

L'administration ne peut pas refuser le congé.

Le fonctionnaire et l'administration conviennent du calendrier prévisionnel des absences. Lorsqu'il souhaite modifier la date d'un ou plusieurs jours de congé, le fonctionnaire en informe son administration au moins 48 heures à l'avance.

Durée

Le nombre de jours de congé est fixé à 310 jours ouvrés maximum par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie.

Chacun de ces jours ne peut pas être fractionné.

Le décompte de la période de 36 mois s'effectue à partir de la date de début du congé.

Condition d'attribution du congé

Le congé débute à la date à laquelle le certificat médical fixe la présence du parent et les soins nécessaires. Il est accordé pour la période fixée par le certificat médical.

À la fin de cette période, il peut être prolongé, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Le congé peut également être rouvert, après une période de reprise du travail, en cas de rechute ou de récidive de la pathologie de l'enfant, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Lorsque la durée du congé dépasse 6 mois, l'agent transmet à son administration, tous les 6 mois, un certificat médical confirmant la gravité de la pathologie et la nécessité de présence soutenue et de soins contraignants.

L'agent peut bénéficier d'un nouveau congé à la fin de la période de 36 mois en cas :

  • de nouvelle pathologie ;
  • ou de rechute ou de récidive de la pathologie initialement traitée.

Rémunération

Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Impact du congé sur la carrière

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour déterminer les droits à avancement (d'échelon et de grade), à promotion interne et à formation.

Retraite

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour le calcul de la durée d'assurance, dans la limite de 3 ans par enfant à condition que l'enfant au titre duquel le congé a été accordé soit né ou adopté après 2003.

Contrôle de l'administration

L'administration peut faire une enquête pour s'assurer que le fonctionnaire consacre réellement son congé à donner des soins à son enfant.

S'il s'avère que cela n'est pas le cas, il peut être mis fin au congé après que le fonctionnaire ait été invité à présenter ses observations.

Réintégration

Le fonctionnaire est réaffecté, au besoin en surnombre, dans son établissement d'origine :

  • à la fin du congé ;
  • ou en cas de diminution des ressources du ménage ;
  • ou en cas de décès de l'enfant.

Bénéficiaires

Contractuels, parents d'un enfant à charge dont la maladie, l'accident ou le handicap présente une particulière gravité rendant indispensables une présence soutenue d'un parent et des soins contraignants

Démarche

L'agent présente sa demande de congé par écrit au moins 15 jours avant le début du congé.

Elle doit être accompagnée d'un certificat médical qui :

  • atteste de la gravité de la maladie, de l'accident ou du handicap de l'enfant ;
  • atteste que la présence soutenue d'un parent et des soins contraignants sont nécessaires ;
  • précise la durée pendant laquelle s'impose cette nécessité.

En cas d'urgence liée à l'état de santé de l'enfant, le congé peut débuter à la date de la demande. L'agent doit alors transmettre le certificat médical sous 15 jours.

L'administration ne peut pas refuser le congé.

L'agent et l'administration conviennent du calendrier prévisionnel des absences. Lorsqu'il souhaite modifier la date d'un ou plusieurs jours de congé, l'agent en informe son administration au moins 48 heures à l'avance.

Durée

Le nombre de jours de congé est fixé à 310 jours ouvrés maximum par période de 36 mois pour un même enfant et la même pathologie.

Chacun de ces jours ne peut pas être fractionné.

Le décompte de la période de 36 mois s'effectue à partir de la date de début du congé.

Condition d'attribution du congé

Le congé débute à la date à laquelle le certificat médical fixe la présence du parent et les soins nécessaires. Il est accordé pour la période fixée par le certificat médical.

À la fin de cette période, il peut être prolongé, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Le congé peut également être rouvert, après une période de reprise du travail, en cas de rechute ou de récidive de la pathologie de l'enfant, sur présentation d'un nouveau certificat médical, dans la limite des 310 jours ouvrés et des 36 mois.

Lorsque la durée du congé dépasse 6 mois, l'agent transmet à son administration, tous les 6 mois, un certificat médical confirmant la gravité de la pathologie et la nécessité de présence soutenue et de soins contraignants.

L'agent peut bénéficier d'un nouveau congé à la fin de la période de 36 mois en cas :

  • de nouvelle pathologie ;
  • ou de rechute ou de récidive de la pathologie initialement traitée.

Rémunération

Le congé de présence parentale n'est pas rémunéré mais l'agent peut percevoir l'allocation journalière de présence parentale (AJPP).

Impact du congé sur la carrière

Les périodes de congé de présence parentale sont prises en compte pour déterminer la durée de services exigée pour pouvoir bénéficier :

  • des congés annuels ;
  • du congé pour formation syndicale ;
  • du congé pour formation de cadres et d'animateurs pour la jeunesse ;
  • du congé de formation professionnelle ;
  • du congé de représentation ;
  • des congés de maladie ordinaire, de grave maladie, d'accident du travail, de maladie professionnelle ;
  • d'un congé de maternité, de paternité, d'adoption ou d'accueil d'un enfant ;
  • d'un congé parental ;
  • d'un congé pour se rendre en outre-mer ou à l'étranger en vue d'adopter un ou plusieurs enfants ;
  • d'un congé de solidarité familiale ;
  • d'un congé pour élever un enfant de moins de 8 ans, pour donner des soins à un enfant à charge, à l'époux-se, au partenaire de pacs, à un ascendant à la suite d'un accident ou d'une maladie grave ou atteint d'un handicap nécessitant la présence d'une tierce personne, pour suivre son époux-se ou partenaire de pacs tenu de déménager pour des raisons professionnelles ;
  • d'un congé de présence parentale ;
  • d'un congé pour raisons de famille ;
  • d'un congé pour convenances personnelles ;
  • d'un congé pour création ou reprise d'entreprise ;
  • d'un temps partiel.

Les périodes de congé de présence parentale sont également prises en compte pour déterminer l'ancienneté ou la durée de services exigées pour :

  • la réévaluation des conditions de rémunération ;
  • l'ouverture des droits à formation ;
  • se présenter aux concours internes d'accès à la fonction publique ;
  • la détermination du classement d'échelon des lauréats de ces concours.

Contrôle de l'administration

L'administration peut faire une enquête pour s'assurer que l'agent consacre réellement son congé à donner des soins à son enfant.

S'il s'avère que cela n'est pas le cas, il peut être mis fin au congé après que l'agent ait été invité à présenter ses observations.

Réintégration

L'agent est réaffecté sur son emploi précédent, ou à défaut, licencié :

  • à la fin du congé ;
  • ou en cas de décès de l'enfant ;
  • ou en cas de demande de l'agent d'écouter son congé.

L'agent licencié dispose d'une priorité de réemploi dans son établissement sur des fonctions similaires dotées d'une rémunération équivalente

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